Des chercheurs à l’Université Simon Fraser au Canada ont constaté que les non-chrétiens se sentent moins sûrs d’eux et ont des sentiments moins positifs que les chrétiens s’il se trouvent dans une pièce avec un arbre de Noël.
Les scientifiques ont interrogé 77 chrétiens et 57 non-croyants, dont des bouddhistes ou des sikhs.
Les participants à l’enquête ne savaient pas qu’elle portait sur Noël et ont été interrogés sur ce qu’ils ressentaient dans une pièce avec un sapin de Noël haut de 12 pouces (30 centimètres) et dans une pièce sans sapin.
Les “non-célébrants” (ceux qui ne fêtent pas Noël) ont réagi moins positivement et avec moins d’assurance dans la pièce avec le sapin. Les chrétiens étaient pour la plupart à l’aise à proximité de l’arbuste même si certains d’entre eux ont ressenti un sentiment de culpabilité à proximité du sapin, ce qui suggère que les fêtes peuvent être stressantes (!), expliquent les chercheurs.
Michael Schmitt, le psychologue social à qui on doit cette enquête, a décidé de la mener après la controverse sur la question de savoir si Noël doit être fêté en public et si cela offense les non-chrétiens.
Il explique : “Avoir un simple arbre de Noël haut de 30 centimètres avec eux les fait se sentir moins intégrés dans l’Université”. Et Schmitt de jurer : “nous ne disons pas ‘pas de Noël’ ou ‘pas d’installations de Noël du tout’, mais dans le contexte qui est le nôtre et en faisant respecter certaines valeurs comme la diversité des religions, l’opinion la plus sage est de ne pas installer de décorations de Noël.”
Sic.
Et le sinistre individu de préciser qu’il “[comprend] que cela puisse effrayer certaines personnes”. “Mais je pense que si les gens font attention à ce que tout le monde sans exception se sente intégré et respecté, alors nous pouvons espérer des petits changements, ce qui serait un grand pas vers une société plus multiculturelle”.
Multiculturelle mais sans la moindre référence au christianisme, si on comprend bien. Si des non-chrétiens se sentent mal à la vue d’un malheureux sapin de Noël haut de 30 centimètres, je n’ose pas imaginer comme peuvent se sentir les chrétiens devant les “mosquées cathédrales” qui poussent comme des champignons en Europe occidentale depuis plusieurs années… Michael Schmitt a “oublié” de (se) poser la question !
Les résultats de cette étude ont été publiés dans le Journal of Experimental Social Psychology.
Côme Dubois (source : The Daily Telegraph)
Sinistre individu, tout est dit…Comme le disait le perroquet de Jacques Bainville, vers 1920-1933, tout cela finira mal…Et effectivement
Oui aux sapins de Noël ( en plastique , pas coupés dans nos forêts ! ) , non aux mosquées !