Alain Escada, secrétaire général de l’Institut Civitas, a fait paraître hier un communiqué dénonçant la lamentable provocation antichrétienne de Libération – qui pourrait être à juste titre rebaptisé Aliénation… – et rappelant quelques détails, qui ne sont pas sans intérêt, sur ce quotidien… D.H.
- Quelle ne fut pas notre stupéfaction de prendre connaissance du contenu du journal Libération du 16 juillet dernier. Sous le titre « Tous en Cène », c’est un humour putride et blasphématoire qui est proposé aux lecteurs à propos de « Jésus le rabat-joie et son gang de douze losers ». L’obscénité le dispute à l’antichristianisme primaire sous le prétexte de l’humour.
Il est vrai que le journal Libération cultive la tradition ordurière. Les gens ont hélas la mémoire bien courte. Il n’est donc pas inutile de rappeler que ce torchon fit, de 1977 à 1979, l’objet de neuf inculpations pour outrages aux bonnes mœurs et incitations à la débauche. A titre d’exemple, en mai 1977, Libération publia un plaidoyer pour le Front de Libération des Pédophiles. Un aspect sordide qui revint régulièrement dans les colonnes de ce journal tenu par les soixante-huitards.
Depuis, pour survivre, Libération fut obligé de faire appel au grand capital, de gauche comme de droite. Libération est aujourd’hui contrôlé par le banquier d’affaires Edouard de Rothschild. Mais on y retrouve aussi Bernard-Henri Lévy. Et Pierre Bergé qui fit un apport de 500 000 € en 2007. Pierre Bergé dont la Fondation est “grand mécène” (aux côtés de la société anonyme Philippe de Rothschild) du Festival d’automne qui a inscrit le spectacle blasphématoire Golgota picnic à son programme. - Une fois de plus, je ne peux m’empêcher de penser que, même sous couvert de l’humour ou de l’art, aucune de ces offenses au christianisme ne serait possible vis-à-vis du judaïsme ou de l’islam. Il est plus que temps que cela cesse. Civitas s’est engagé avec détermination à faire reculer la christianophobie et à faire entendre la voix des catholiques. Dès septembre, l’Institut Civitas lancera une vaste campagne en ce sens.
D’ici-là, je vous rappelle l’importance de la session d’été que nous organisons du 29 au 31 juillet sur le thème « Face à la christianophobie, refaire la Chrétienté ». Il est encore temps de vous y inscrire. Il reste quelques places disponibles. Participez ainsi à la mise en place de la riposte. Chacun peut y contribuer.
Source : Institut Civitas
Il n’y a plus vraiment le choix : il faut BOYCOTTER purement et simplement ce genre de MERDIAS de gôche qui sont tout sauf honnêtes !
Question à Valentin : Ah ? parce que vous achetiez ordinairement ce “medium” de gauche ?
Il est temps de cesser.
J’avoue pour ma part qu’il m’est quelques fois arrivé de consulter leur site, au demeurant assez bien fait. Promis, juré, je ne le ferai plus.
@ Jean Ferrand : à une certaine époque éloignée en effet, parmi une multitude d’autres publications, lorsque les nouvelles sources d’information n’étaient pas parvenues à ma connaissance.
Il m’arrivait aussi de consulter quelques articles de leur part, par hasard quand je passe sur Google Actualités, ceci dit, vu l’incompétence croissante de nos journaleux dans ces publications, maintenant, c’est fini !
Libé titre sur le “fondamentaliste chrétien tueur d’Oslo”, comme de bien entendu, et j’ai refusé de cliquer : ces pourris nous insupportent et il faut éviter leur cloaque.
C’est triste de constater qu’il fut un temps où “Libé” était capable de publier un article honnête et bien documenté sur …le Linceul de Turin! (numéro du mardi 31 mars 98 à l’occasion de la première ostension )
L’air du temps est bien délétère..
depuis le départ de July ce journal n’a-t-il pas vu son tirage diminuer, ces journalistes espèrent-ils une meilleure vente avec du scandale? ce journal appartient à M de Rothschild que l’on dit ami de notre Président , et aussi entre autre à B H Levy que l’on dit conseiller du Président est-ce pour cela que les journalistes se sentent à l’abri de la justice? attendons le verdict nous verrons si la justice est indépendante et vraiment juste ou s’il y a quelque chose à changer