signale Le Télégramme de Brest :
“Les membres du comité d’entretien du site de la Grotte Notre-Dame de Lourdes ont constaté des dégradations. L’autel a été profané. Sa croix de marbre blanc a été brisée en trois morceaux, à coups de lourdes pierres, qui ont été retrouvées sur place. Le Christ en fonte, qui ne date que de l’an passé, est cassé. Par ailleurs, une demi-douzaine de poteaux, destinés à soutenir les stations du Chemin de croix, ont été brisés, d’autres ont été emportés.
Ce sont des passants qui ont signalé ces méfaits récents. La nouvelle a suscité une vive émotion dans le quartier. Quelques membres du comité d’entretien se sont réunis, mercredi soir, pour évoquer les mesures à envisager pour la protection de ce lieu de culte. Il n’est cependant pas question de fermer ce site «qui a pour vocation d’accueillir les fidèles». Excédés par les malveillances à répétition, des bénévoles ont décidé d’expliciter et de renforcer la signalisation de ce «terrain privé, propriété du diocèse de Vannes, à la charge de la paroisse de Plouay et réservé au recueillement». Ils se proposent d’exercer une surveillance accrue du site, car «les exactions ont assez duré. Cela devient vraiment pénible, voire irritant». Le préjudice pourrait avoisiner le millier d’euros. La mairie a été informée et une plainte a été déposée à la gendarmerie“.
L’Observatoire de la christianophobie a contacté la mairie de Plouay. “M. le maire est actuellement sur Paris” nous a expliqué le policier municipal qui a “constaté les dégradations avec M. le curé et un adjoint du maire”. Selon lui, il s’agirait du fait de “grands gamins du coin” et pas d’un acte christianophobe. Il a conseillé le curé pour le dépôt de la plainte. “C’est un lieu magnifique très apprécié des croyants de Plouay” a expliqué le policier.
Côme Dubois
La paix de CHRIST sur vous.
Soldat de DIEU pouvant trouver du temps pour exercer sa part de garde demande information et hospithalité auprès des défenseurs du sacré.
Priere de communiquer e-mail à la communauté de Plouay, je repondrai toujours présent pour garder le sacré des mécréants.
Non nobis domine, non nobis sed nomini tuo da gloriam !