Le 12 novembre dernier, le Procureur général des droits des citoyens de l’État de Sao Paolo au Brésil, a décrété que l’expression « Deus seja louvado » (Dieu soit loué) imprimée sur les billets de banque devra être supprimée dans un délai de 120 jours sur toutes les nouvelles coupures qui seront imprimées dans l’État. L’existence de cette phrase, selon le Procureur général, enfreindrait le principe de laïcité de l’État et la liberté religieuse (entendue, je pense, comme se libérer de la religion…) : « Le fait que les chrétiens soient majoritaires ne justifie pas que l’on continue à violer les droits fondamentaux des Brésiliens qui ne croient pas en Dieu ». Pourtant, la Constitution brésilienne porte dans son préambule que le pays « se place sous le protection de Dieu »… Je crois aussi que le Procureur général devrait aussi songer à changer le nom même de son État : Sao Paulo, Saint Paul, et puis quoi encore…
Sources : De Lapsis (blogue en espagnol) et Fohla de S.Paulo
Merci beaucoup pour le travail effectué (et le lien)
Les “Illuminatis” sont à l’œuvre au Brésil.
Pour moi, hormis le fait que l’ôter marque un désir de “neutralité” qui n’est pas sans sous-entendu, c’est plutôt bien que Dieu n’apparaisse plus sur des billets de banque dans un pays où l’on ne peut pas dire que la supposée “prospérité” comme pays émergeant ayant bien émergé dans le mercantilisme mondialiste ait vraiment profiter aux plus pauvres dans les respects des valeurs chrétiennes.
Il faut mieux rire de leur pitoyable tentative de “neutralité” quand l’on voit encore le drapeau avec la devise inspirée (pour ne pas rentrer plus dans les détails) du scientisme positiviste d’Auguste Comte. L’on a les idoles que l’on mérite avec les conséquences qui vont avec…Le pire dans tout cela, hormis évidemment après notre passage sur terre, c’est que ce sont toujours les plus faibles en ce bas monde qui subissent les conséquences de cette élite qui veut mener le monde et se faire dieu à la place de Dieu.
Les Brésiliens commencent à faire la place aux islamistes.
La terre deviendrait-elle musulmanes ???… Devons-nous laisser faire ???…
pour le Brésil c’est normal, puisque depuis l’après concile (1970) Rome a fait le siège de tout les pays catholiques pour qu’ils abandonne la référence à Dieu dans leur constitution.
ne pleurons pas , Rome l’a voulu! prions pour les papes( paul VI et Jean-Paul II) et les cardinaux de l’époque, pour que Dieu et Jésus fasse miséricorde à leur trahison
le réfractaire
@Le réfractaire
Veuillez, je vous prie, prendre connaissance du préambule de la Constitution brésilienne qui n’a, a ce jour, subi aucune révision :
« Nous, représentants du peuple brésilien réunis en Assemblée nationale constituante pour instituer un Etat démocratique destiné à assurer l’exercice des droits sociaux et individuels, la liberté, la sûreté, le bien-être, le développement, l’égalité et la justice comme valeurs suprêmes d’une société fraternelle, pluraliste et sans préjugés, fondée sur l’harmonie sociale et engagée, dans l’ordre interne et international, dans la recherche du règlement pacifique des différends, promulguons, sous la protection de Dieu, la présente Constitution de la République fédérative du Brésil.»
pourquoi les billets de banque doivent-ils louer Dieu; les pauvres qui n’ont pas possibilité d’en posséder ne regretteront cette supression, est-ce que les riches louaient Dieu d’en posséder, s’ils n’en faisaient pas le bien aux pauvres
Qui se souciait jusqu’ici de cette minuscule inscription sur les billets de banque? Je parie que la plupart des brésiliens eux-mêmes ne l’avaient même pas remarquée…Cette décision aussi stupide qu’irrationnelle montre bien comment les forces démoniaques sont à l’oeuvre aujourd’hui dans leur entreprise de dénigrement, de mépris, d’humiliation et même d’éradication de tout ce qui fait référence au Dieu de la Bible et à Jésus-Christ.
On décrètera également :
– Ne plus dire “Grâce à D…”
– Si D… le veut
– Ohhh Mon D….
– etc…, etc…
Le WoualaHakBarr des islameux sera-t-il encore “laïc” ?
Le 21° siècle sera musulmaniste ou ne sera pas.