Mal informés, certes, mais à ce point de préjugés et de mensonges qu’on relève dans la große presse, c’est un autre mot qui me vient naturellement à l’esprit : désinformation !
En ce qui concerne la situation au Moyen-Orient et en particulier la tragédie syrienne, « l’Occident, y compris ses Églises, est, à bien des égards, faiblement informé, malgré les bonnes intentions ». C’est ce que déclare S.E. Mgr Elias Sleiman, évêque de l’éparchie maronite de Lattaquié, dans un entretien accordé à la section américaine de la fondation de droit pontifical Aide à l’Église en Détresse. Au cours de cet entretien, il a insisté sur le manque d’informations concernant les processus en cours dans la région, qui risque de peser de manière négative sur les actions mêmes de la communauté internationale envers le conflit syrien. « Le problème de nombreux moyens de communication, précise l’évêque syrien, est qu’ils n’appréhendent pas vraiment le cadre réel de la situation. Le “Printemps arabe” a été décrit comme un élan décidé vers la liberté et la démocratie mais ses résultats réels en Libye, en Égypte et au Yémen par exemple, ont démontré qu’il en va tout autrement ». La région de Lattaquié, au nord de la Syrie, a été jusqu’ici en grande partie épargnée par le conflit. Sur ce territoire, les chrétiens continuent à coexister pacifiquement avec les alaouites. Selon l’évêque, la seule voie possible pour sortir du conflit est d’augmenter les pressions internationales afin de parvenir à « un dialogue entre le régime et les éléments modérés de l’opposition ». Les grands acteurs internationaux doivent pousser les différentes parties au conflit à « s’asseoir autour de la table des négociations » en tenant compte du fait que « le grand défi à relever est celui lancé par le fanatisme religieux » et qu’actuellement « les rebelles modérés et les islamistes ont commencé à se combattre entre eux ».
Source : Agence Fides
Mal informés, certes, mais à ce point de préjugés et de mensonges qu’on relève dans la große presse, c’est un autre mot qui me vient naturellement à l’esprit : désinformation !
En ce qui concerne la situation au Moyen-Orient et en particulier la tragédie syrienne, « l’Occident, y compris ses Églises, est, à bien des égards, faiblement informé, malgré les bonnes intentions ». C’est ce que déclare S.E. Mgr Elias Sleiman, évêque de l’éparchie maronite de Lattaquié, dans un entretien accordé à la section américaine de la fondation de droit pontifical Aide à l’Église en Détresse. Au cours de cet entretien, il a insisté sur le manque d’informations concernant les processus en cours dans la région, qui risque de peser de manière négative sur les actions mêmes de la communauté internationale envers le conflit syrien. « Le problème de nombreux moyens de communication, précise l’évêque syrien, est qu’ils n’appréhendent pas vraiment le cadre réel de la situation. Le “Printemps arabe” a été décrit comme un élan décidé vers la liberté et la démocratie mais ses résultats réels en Libye, en Égypte et au Yémen par exemple, ont démontré qu’il en va tout autrement ». La région de Lattaquié, au nord de la Syrie, a été jusqu’ici en grande partie épargnée par le conflit. Sur ce territoire, les chrétiens continuent à coexister pacifiquement avec les alaouites. Selon l’évêque, la seule voie possible pour sortir du conflit est d’augmenter les pressions internationales afin de parvenir à « un dialogue entre le régime et les éléments modérés de l’opposition ». Les grands acteurs internationaux doivent pousser les différentes parties au conflit à « s’asseoir autour de la table des négociations » en tenant compte du fait que « le grand défi à relever est celui lancé par le fanatisme religieux » et qu’actuellement « les rebelles modérés et les islamistes ont commencé à se combattre entre eux ».
Source : Agence Fides
Bachar mène atuellement une campagne de désinformation concernant les chrétiens Syriens en se présentant comme leur défenseur et protecteur.
Ceci est faux et machiavélique car très peu de chrétiens sont en fait de son côté.
La majorité est prise en étau et obligée de faire semblant pour sauver leur vie de la répression impitoyable du régime ( viols, tortures, emprisonnements sans motif valable de façon continue sans interruption et jour et nuit… ).
De même certains allaouites ne suivent pas Bachar bien qu’ils soient chiites et de la même ethnie.
Ce n’est donc pas une guerre de religions !!!!!!
Pour les chrétiens, ils ont le choix entre rester en Syrie et passer pour des pro Bachar ou fuir ou rejoindre les rebelles de la Syrie Libre ( non islamistes ).
Au rassemblement à Paris le 19 octobre Place de la République, des Syriens nous ont interpellé : Pourquoi n’aurions nous pas droit à la paix , la démocratie, la liberté et ne plus être opprimés par nos dirigeants comme vous en France ?
Soyons solidaires et aidons le peuple syrien QUI SE BAT CONTRE BACHAR dans son entièreté.
Par rapport aux armes à fournir aux rebelles, il semble qu’il y ait une solution qui apparaisse c’est de leur fournir des armes anciennes donc non repérables par Bachar et son armée qui ne seront pas réutilisales indéfiniment.
Dans le cas ou elles tombent aux mains des islamistes ou autres groupes indésirables ou iraniens et russes, elles ne pourront pas être utilisées.
[7 § rédigés en capitales = 7 § modérés !]
L’ASL qui constitue actuellement la majorité des rebelles est faite de gens comme toi et moi qui ont des professions toutes plus diverses les unes que les autres et des religions différentes. D’ailleurs pendant des siècles, la Syrie a vécu en parfaite entente avec une multitude de religions se cotôyants et cela n’a jamais été déclencheur d’aucune guerre.
Bachar est un vilipandeur, imposteur qui fait croire à une guerre de religion dans son pays.