Le blasphème et le sacrilège ne tombent pas sous le coup de la loi en France. Mais les chrétiens ont le droit au respect de leur foi. C’est à ce dernier titre que l’Alliance générale contre le racisme et pour le respect de l’identité française et chrétienne (AGRIF) a chargé son avocat, Me Jérôme Triomphe d’assigner le Théâtre de la Ville – organisme subventionné, et donc financé aussi avec l’argent des chrétiens – devant le Tribunal de Grande instance de Paris. Le référé sera plaidé le 17 octobre, les représentations de la pièce sacrilège, blasphématoire et scatologique, Sur le concept du visage du Fils de Dieu, étant programmées du 20 au 30 octobre. Le but de l’action judiciaire est d’obtenir la déprogrammation de ce spectacle infect (dans tous les sens du terme). En outre, l’avocat de l’AGRIF assigne également devant le Tribunal administratif, pour les mêmes motifs, l’établissement public de coopération culturelle « Théâtre 104 » pour avoir programmé cette même pièce du 2 au 6 novembre. L’Observatoire de la Christianophobie soutient ces deux initiatives courageuses et nécessaires.
Daniel Hamiche
Sources : Présent (15 octobre), AGRIF
Madame Figaro, ce magazine pour c…bobos décervelées, trouve le spectacle sublime..
“Madame Figaro” le summum de l’anticléricalisme, dirigé par une horde de mécréants.
Voilà belle lurette que les journaux “féminins” (tous !) sont devenus des torchons (le coup d’Eve qui se laisse corrompre plus facilement ? en tout cas, la dissolution de la famille et de la société – Eglise comprise- passe bien par la femme: depuis 1968 la stratégie est imparable) !
Eh oui, beaucoup de choses passent par les femmes, le pire comme le meilleur. Aussi souvenons-nous de cette belle mission que nous a assignée Jean Paul II : sentinelles de l’invisible. N’est-ce pas beau ? Voilà une belle “feuille de route”, pour pasticher les expressions sottes et branchées des media, et qui exige de nous, entre autres, une grande vigilance vis à vis du poison distillé par la presse féminine (pas seulement!) et qui intoxique beaucoup de jeunes femmes. …et de moins jeunes! Quel gâchis!
En même temps que nous élèverons la voix contre ces spectacles ignobles, ne craignons pas d’affirmer que la beauté du visage du Fils de Dieu n’a absolument rien à craindre de toutes ces souillures qui ne révèlent que la saleté de leurs auteurs. En matière d’outrages au Christ, tout a déjà été fait : en pure perte. C’est même pour cela qu'”ils” s’acharnent. Certes nous ne pouvons ni ne devons rester silencieux devant ces abjections, mais ne savons-nous pas qu’Il a vaincu le mal?