
Incroyable, mais vrai !
Voici une trentaine d’année, Zulfiquar Masih, un chrétien pauvre de Rahim Yar Khan (un district de la province du Penjab au Pakistan), dut emprunter de l’argent à un riche propriétaire terrien et homme d’affaires musulman, Basharat Ali Gulo, pour payer les frais de mariage d’une de ses filles. Au fil des années, les intérêts de l’emprunt ne cessèrent d’augmenter, jusqu’à 500 % ! Incapable de rembourser ni le prêt ni ses intérêts, toute la famille de Zulfiquar Masih, soit 26 personnes, hommes, femmes et enfants, devinrent les esclaves de Basharat Ali Gulo, enfermés dans une prison privée et contraints de travailler sur ses terres… C’est grâce au diocèse catholique de Bahawalpur qu’ils ont pu recouvrer leur liberté. Ce dernier a, en effet, déposé une plainte contre Basharat Ali Gulo, le tribunal lui a donné raison et ordonné la libération de cette infortunée famille victime de la rapacité et l’absence totale de miséricorde de ce musulman dont pourtant le dieu est dit « miséricordieux »…
Daniel Hamiche
Joyeux Ramadan !
Source : Asia News
Une religion où le prêt à intérêt est soit disant très encadré au point de créer des banques islamiques dans ce but. Cet esclavagiste serait-il un mauvais musulman ?
nous le savons, l’Islam permet l’esclavage.
Il semble que le monde l’ignore ou fait semblant de ne pas savoir. quelle tristesse pour les esclaves de ces gens qui adorent un faux dieu.
Un tribunal a pu donner raison au diocèse catholique dans cette charmante contrée qu’est le Pakistan: tout espoir n’est pas perdu! J’espère que l’esclavagiste n’a pas la possibilité de faire appel.
En revanche je ne parierai pas sur les chances de promotion professionnelle du président du tribunal!
@Gloire à Dieu: “ces gens qui adorent un faux dieu” adorent le même que les chrétiens. leurs divergences sont autres, notamment en ce qui concerne Jésus qui pour eux n’est pas un prophète.
Bon sinon c’est une bien triste histoire. Je me demande toutefois si la nouvelle aurait été publiée ici si c’était un athée qui avait commit cela.
Je me demande combien de temps cette famille est restée esclave? Dommage que ce ne soit pas précisé.
La famille est libre que cetteparoisse catholique soit remerciée.Un tribunal français aurait condamné cet homme d’affaires à rembourser les 30 années de travail qu’il n’a pas rémunéré à ces 26 personnes
Les socio/ethnologues ou les blogueurs les plus documentés de ce site sont-ils en mesure de donner une estimation du nombre des esclaves traditionnels (puisqu’il en existe de nouvelles formes) sur cette planète : de guerre, pour dette, par enlèvement, par achat aux parents ?
Puis de dire à quelle/s culture/s appartiennent les esclavagistes ?
J’aurais envie de te dire que c’est la culture de la rentabilité, de l’argent… Partout où c’est autorisé.
@ Neutre (un prénom, ce serait plus sympa, plus loyal, et pas plus dangereux car nous ne mangeons personne),
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justement, qui ose l’autoriser, cet esclavage TRADITIONNEL (ne dévions pas vers notre cher patronat qui voudrait des ouvriers du XIXe siècle, le paternalisme en moins, bien sûr…)auquel toutes les nations sont censées avoir renoncé ?