Voici ce qu’on peut lire sur le blogue Plombières aujourd’hui. L’église de Montzen (province de Liège) vandalisée. Pour la deuxième fois…
Ce que nous découvrons dans la parution de La Meuse Verviers de ce vendredi 29 mars est un vrai coup dur.
Ce mercredi 27 mars, à seulement quelques jours des célébrations de Pâques et quelques semaines des premières communions, des kilos de poudre blanche d’extincteurs ont été répandus à l’intérieur de l’église, et ce apparemment depuis le jubé.
Plusieurs bénévoles se sont relayés pour rendre un aspect digne de ce nom à l’église Saint Etienne de Montzen.
Tous les soirs, à Montzen, une dame se charge de fermer à clé, pour la nuit, l’église qui trône au milieu du village de la commune de Plombières. Mercredi soir, elle constate avec surprise que l’édifice religieux est déjà fermé. Elle essaye alors de joindre le curé de la paroisse pour avoir une explication. Quelque temps plus tard, c’est la découverte. Tout l’intérieur de l’église est recouvert d’une pellicule de poudre blanchâtre. Sol, bancs, statues, autel, cierges : rien n’a été épargné.
« En fait, la ou les personnes qui ont fait ça sont entrées dans l’église, ont brisé le coffre à code où se trouvent les clés et se sont enfermées à l’intérieur pour pouvoir “travailler” à l’aise, explique Jonathan Deckers, un des pompiers volontaires de Plombières. Ils sont montés au jubé, et ont vidés deux extincteurs à poudre de là-haut. »
Face à cet acte de vandalisme, la fabrique d’église a eu tôt fait de faire ses comptes. Faire appel à une firme de nettoyage coûte les yeux de la tête. S’il y a un trou au budget, c’est la commune qui devra éponger les dettes. Pas question d’en arriver là, du coup, les membres de la fabrique aidés de bénévoles de la société Saint-Joseph ont retroussés leurs manches.
« Depuis ce jeudi matin, on n’arrête pas, explique Joseph Austen, échevin mais aussi membre de la fabrique. Des pompiers et deux ouvriers communaux sont venus en renfort. L’office de ce soir va être déplacé à Montzen-Gare. On espère que tout sera propre pour la messe de Pâques, dimanche. »
Ce n’est pas la première fois que l’église subit une attaque du genre. En 2006, les missels (livre liturgique) qui se trouvaient devant les prie-Dieu, avaient été entassés avant d’y mettre le feu. Les dégâts, heureusement limités par la rapidité d’intervention, furent tout de même conséquents. « On était arrivé à temps, se souvient Joseph Austen, mais les dégâts étaient énormes, on a dû faire repeindre toute l’église. » Le tronc de l’église avait d’ailleurs été vidé et une statuette dérobée.
De pareils actes avaient été commis également à l’église de Welkenraedt une semaine auparavant.
Espérons qu’il n’en soit pas de même cette fois, qu’il s’agisse d’un acte isolé de vandalisme. La fabrique d’église a bien sûr porté plaintes et espère que la police retrouvera rapidement les auteurs pour qu’ils répondent de cet acte « irresponsable et irrespectueux ».
Source : Plombières
(Mise à jour : 31 mars, 6 h 40)
il est parfois regrettable que Dieu soit bon, amour envers tous les hommes, il devrait parfois faire un exemple et paralysait ceux qui commettent de tels actes; pourquoi permet-il cela?
Dieu ne fera jamais le mal. Comprenez-vous celà?
Voilà un peu de mes recherches pour comprendre le bien et le mal:
Le bien et le mal bien expliqué
Absence de grâces et de bons œuvres
Prenons quelques exemples : Le froid existe-t-il ? Nos sens nous disent que oui. Et pourtant la science nous explique que le froid est une absence de chaleur. L’obscurité existe-t-elle ? On dirait que oui… cependant les scientifiques vous montreront que l’obscurité n’est qu’une absence de lumière. De même, le mal n’existe pas : ce que nous voyons de lui, ce sont ses conséquences.
Le criminel est biologiquement/ génétiquement programmé pour le faire le mal (variante moderne)
Parce que la nature même du mal, c’est d’être une absence de bien.
Chaque chose dans ce monde recherche le bien. La plante veut grandir et porter du fruit ; le loup veut se nourrir et se reproduire ; L’homme cherche un bien plus grand, qu’il appelle bonheur. Chaque chose bouge, change et cours vers sa perfection. Nous avons tous l’idée d’un monde parfait, où chaque chose aurait atteint sa pleine maturité.
Ce que nous appelons mal est en fait TOUJOURS relatif à un certain bien. La plante a été abîmé par la tempête ; le loup n’a pas assouvi sa faim ; les hommes se font la guerre… et c’est cela le mal : quand les choses n’atteignent pas leur perfection naturelle.
En ce sens, la notion biblique du « péché » est intéressante. Ce mot vient en effet du latin « peccare », ce qui signifie « rater », comme quelqu’un qui rate sa cible. Avant d’être une offense à Dieu, le péché est donc une offense à notre propre nature !
Lorsque l’archer rate sa cible, il pèche par ce qu’il n’accomplit pas son talent. Quand un journaliste bâcle son travail, il pèche parce qu’il ne va pas au fond des choses, et risque de transmettre des informations erronées sur l’évènement qu’il couvre.
On n’est pas besoin d’être chrétien pour comprendre cela. Les philosophes de l’antiquité l’avaient très bien compris. Mais la foi chrétienne qui professe l’existence d’un Dieu Créateur, bon, un et infini, a rendu l’idée plus claire encore.
Dans ce monde, il n’y a pas de valeurs négatives. On n’a rien à perdre. Mais tout à gagner.
Si le mal existe c’est parce qu’il est nécessaire à l’accomplissement de bonnes actions supérieures.
Non seulement le mal (la souffrance) est nécessaire pour permettre à l’Homme de découvrir le bien (le bonheur) mais il est aussi nécessaire à l’accomplissement de ce bien.
Ainsi la souffrance peut être bonne et nécessaire
Les conflits sont rarement une opposition du bien au mal, et beaucoup plus souvent « un conflit entre deux visions différentes et incompatibles du bien
Ne pouvant trouver le juste, il ne reste plus qu’à trouver le fort.
Le mal correspond à tout ce qui nie ou porte atteinte à la vie, il trouve son origine dans la mort qui est la négation de la vie.[
Pour les chrétiens, c’est le Christ qui donne un sens à la souffrance humaine.
Si Dieu existe, il est tout puissant et bon ;
Si Dieu est tout puissant, il a le pouvoir de supprimer le mal ;
S’il est bon, il doit vouloir détruire le mal ;
Or, le mal existe ;
Donc Dieu n’existe pas. Faux!
Dieu respecte la liberté de l’homme qui consiste aussi à faire un choix entre LUI ou le MAL.
S’il y a des maux nécessaires pour obtenir des biens plus grands, toutes choses étant égales, il est impossible de déduire du mal l’inexistence de Dieu.
Dieu est tout puissant et bon
Dieu permet que le mal existe
Donc Dieu a une raison morale de permettre l’existence du mal.
LE MAL
-le mal est défini comme une privation volontaire de la grâce de Dieu.
-Le mal correspond à tout ce qui nie ou porte atteinte à la vie, il trouve son origine dans la mort qui est la négation de la vie.
-On ne peut faire le mal que si on est ignorant
-Celui qui fait le mal ne sait pas ce qu’il fait, et se trompe : il veut faire le bien, mais il prend le mal pour le bien
-Celui qui est “vaincu par les plaisirs” ne fait pas le mal en sachant qu’il le fait, parce qu’il a été incapable de calculer le rapport entre plaisir et peine, i.e., entre bien et mal.
-Le mal culmine dans la violence de la haine qui est à l’origine de toutes les formes de barbarie, de tous les crimes, de toutes les guerres et de tous les génocides.[
-Le mal est la conséquence de la rébellion de l’homme.
Conclusion :
Dans ce champ, qui représente aussi bien le monde que moi-même,
Il y pousse à la fois des germes de bonheur et de malheur…
Je ne suis ni le semeur, ni le moissonneur…
Il me revient de recevoir la semence du Père,
et de veiller à ce qu’elle croisse,
sachant que le malin (l’ennemi) a aussi semé son poison.
Je ne peux passer derrière lui pour extirper chaque mauvaise graine
Ce n’est pas ce qui m’est demandé..
Le Seigneur Jésus m’invite, moi et d’autres avec lui,
à favoriser la croissance de la bonne graine.
Pour cela, il me faut d’abord croire que le Père a semé la bonne semence.
Le bonheur est dans notre cœur, le malheur rode à nos pieds comme le serpent qui se faufile sans être ni vu ni entendu
Et se malheur entre en nous sans que nous le percevions et puis il s’y installe en grandissant.
Puis nous sommes très peu à nous apercevoir que le ravageur de notre âme prend de la force et qu’il nous consume de part l’intérieur
Et si laissons cohabiter en nous le bon et le mauvais, le mauvais risque de prendre le dessus parce qu’il peut avoir l’apparence de la beauté et la sérénité.
Le Seigneur est Esprit, et là où est l’Esprit du Seigneur est la liberté – 2 Corinthiens 3/17.
Merci de cette belle analyse, conforme à celle que j’avais
entendue un jour d’un moine de la Stricte Observance
d’une abbaye bénédictine (Randol ?) qui expliquait à
partir de la philosophie cette nécessité de l’existence du
Mal dans une perspective chrétienne bien sûr et j’avais
été convaincue même si cela était difficile de suivre vu mon
intelligence limitée. Ce que vous dites ci-dessus est simi-
laire (en gros pour moi , bien et mal sont nécessaires …)
Ne nous posons pas trop de questions, ce n’est pas défendu
mais il y a d’autres urgences : se rapprocher de Dieu, L’aimer
Le suivre malgré nos chutes ne jamais Le quitter (les sa-
crements ! tant que nous les avons encore), tenir jusqu’à
son Retour (voir Dn 12,4-14 et Ap 10).
Tous les jours, des églises sont vandalisées dans le monde ! C’est absolument insupportable ! Le diable agit a travers les vandales, c’est difficile à admettre, mais il faut les plaindre, parce que le jour du solde de tout compte……..l’addition sera probablement très lourde…..
Il faudrait modifier le titre de cette information. Si elle est sortie dans le journal “La Meuse”, l’évènement se passe en Belgique province de Liège et non dans le département français de la Meuse comme le laisse entendre le titre et le référencement :”This entry was posted in Brèves and tagged Églises vandalisées, France (Meuse).”
@Henrion
Merci ! Je n’avais aucune intention “d’annexer” une province belge… C’est rectifié.
1 – C’est du répétitif 2006 ?
2 – Quels que soient les circonstances et les individus et quelles que soient les “bonnes” explications (psychologiques) , il faut en finir avec ces malfaisants. A commencer par porter plainte immédiatement. Il n’est pas normal que les responsables de nos églises acceptent le vandalisme dans une apathie trop coutumière, suivant en cela le plus souvent il est vrai la haute hiérarchie même des diocèses … dont l’indifférence générale, explique le vide progressif des églises. Les mosquées et les synagogues sont plus dynamiques, avec l’assistance des médias suivant l’émotion du public !
En France comme en Belgique des larcins, vols et dégradation sont commis dans les églises, leurs abords et dans les cimetières. Il est nécessaire que ces lieux sont surveillés par vidéo surveillance avec transmission automatique sur un système d’enregistrement. La meilleure surveillance c’est bien sûr que les fidèles soient présents dans les églises et prient. Mais on ne peut pas être présent tout le temps !
Je ne comprends pas que les églises, les paroisses ne soient pas sous-surveillance encore!
La France fait entrer régulièrement des immigrés malfaiteurs et c’est une politique contre la France.
Est-ce qu’on entends parler de l’Angleterre qui prend les devants des guerres un peut partout? Ou Israël? Non. Ils travaillent dans les coulisses. Pourquoi, seulement la France qui est en première ligne et n’agit pas comme les autres par en arrière? Qui veut du mal pour la France pour la pousser ainsi en avant et eux ce cachent?
Ouvrons les yeux et ne ne devrions faire confiance à personne d’autres qu’au Catholiques et Orthodoxes et tous les autres seulement lorsqu’ils feront leurs preuves pas lorsqu’ils parlent seulement.